Française
Le Canada ratifie la Convention relative aux droits des personnes handicapées
Jeudi 11 mars 2010
Pour distribution immédiate
Une question de mot « en T »
Peu importe que les nouveaux frais de sécurité soient une taxe ou des frais d’usager (Security Fee Not A Tax: Ottawa – 26 février, Globe and Mail). Le problème pour les personnes handicapées, c’est de devoir payer un système à la fois inaccessible et inutilisable. La question de l’accessibilité ne semble pas avoir été prise en considération.
La famille d'une fillette handicapée conteste une mesure de renvoi du Canada (Lundi 22 février 2010)
23 février 2010
Lettre au rédacteur en chef
du Globe and Mail
Un groupe de personnes handicapées interpelle le Canada pour un « fardeau excessif » de 5 259 $
24 février 2010
Pour distribution immédiate
Un groupe de personnes handicapées interpelle le Canada pour un « fardeau excessif » de 5 259 $
Alléguant que les 5 259 $ requis pour la scolarisation de Rachel Bardagne constitueraient un fardeau excessif pour le Canada, des agents de l’immigration ont ordonné à la famille de quitter Montréal et d’abandonner l’entreprise et la vie qu’ils sont en train de se bâtir dans leur pays d’adoption.
Le Point de la présidente du CCD: Février 2010
Chaque jour, un nouveau défi
Les députés fédéraux rentrent au travail pour régler les affaires en suspens
3 mars 2010
Pour distribution immédiate
Le Conseil des Canadiens avec déficiences (CCD) se réjouit du retour au travail des membres du Parlement. Le gouvernement du Canada pourra enfin conclure l’engagement pris le 3 décembre 2009, à savoir: ratifier la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées, (CDPD).
L'immigration et les personnes handicapées
Le 4 mars 2009
À: Tous les Membres du Parlement
OBJET: L’immigration et les personnes handicapées
Covarrubias c. Canada (Ministre de la Citoyenneté et de l'Immigration
Faits
Cet appel portait sur l’interprétation du sous alinéa 97(1)b)(iv) de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés (la LIPR), qui prévoit que ne peuvent avoir la qualité de personnes à protéger les demandeurs d’asile qui sont exposés à une menace à leur vie causée par « l’incapacité du pays [de leur nationalité] de fournir des soins médicaux ou de santé adéquats ».